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Afrikelektro is an eclectic trio of musicians blending traditional African sounds and Western, electro-pop inspiration.
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Afrikelektro offre un mélange de saveurs africaines, une fusion de sonorités traditionnelles et d’électro-pop à la sauce occidentale.

Le résultat est un amalgame étonnant et éclectique, jamais ennuyant. Mouvement dans la foule garanti.

AFRIKELEKTRO is an eclectic trio of musicians blending Electro-Pop with traditional African sounds, rhythms and melodies.

The group was founded in Montréal by Congolese drummer, percussionist, writer and singer Lionel Kizaba, who invited the perfectly matched composing and performing talents of Austrian-born, former Liverpool resident Vergil Sharkya' (synth-bass, synthesizers, vocoder) and Montréal native Chris Hamel Burrage (guitars, bass, backing vocals) to join forces in his project. Afrikelektro have been developing their unique blend of music in this formation since 2012. The group frequently collaborate with dancers Axelle Munezero and Marie-Reine Kabasha and VJ Mabika-Ki L'Ordre du Leopard, who contribute to a vibrant high-energy live experience. Afrikelektro invite their audience to become immersed in a futuristic Afro-Electro-Pop universe.

Afrikelektro have performed shows in clubs and theatres in Montréal, Balattou, Alizé, Inspecteur Épingle, l'Astral, Rialto, la Tulipe, at Montréal's Festival Nuits d'Afrique, Festival Mondo Karnaval in Québec City, Festival Rythmes d'Afrique in Sherbrooke, on Quebec's premier music channel Musique Plus, on Concordia University TV channel CUTV, and their music has been performed and broadcast on radio stations Radio Canada, CiBL, CKUT, etc. The band has recorded a collection of songs during 2014, and launched their eponymous EP in February 2015.

Afrikelektro's original style has influences from Fela Kuti to Daft Punk, to which Lionel Kizaba puts charmed magic words in Lingala, English, and French, resulting in a high-energy mix of luscious grooves, futuristic electronic soundworlds, funk, rock, and free-flowing melodies inspired by the music and traditions of central Africa.

Return Policy

Actif depuis 2011, Afrikelektro est un trio initiateur du courant Afro-Électro-Pop, un style unique et électrisant métissant le funk, le rock et l’électro occidental aux rythmes, langues et traditions de l’Afrique. Le groupe est composé de trois musiciens issus de trois continents joignant leurs talents et leur expérience de scène pour créer une symbiose de grooves entraînante et exaltante. Le groupe est piloté par le batteur/chanteur Lionel Kizaba leader du groupe Afrikelektro, auteur/compositeur/interprète originaire du Congo Kinshasa, accompagné de Vergil Sharkya’, originaire de Vienne, aux claviers et synthétiseur basse, et de Chris Hamel, originaire de Montréal, à la guitare électrique et aux backvocals.
Doté de son personnel hétéroclite, Afrikelektro navigue entre les rythmes traditionnels africains et les sonorités électro-pop proposant un mélange savoureux de musique africaine à la sauce occidentale créant un amalgame étonnant et électrique des plus vivants. Résident canadien depuis trois ans, Lionel autodidacte en musique, a été formé à la batterie jazz et gospel par le professeur François Mantuila Nyomo et il agrémente son jeu de percussions traditionnelles du Congo nommées Djitumba et Mbonda en plus de chanter dans son style ancré dans la grande tradition des chanteurs afro-américains. Immigré au Canada depuis quatre ans, Vergil est un docteur en composition ayant œuvré pendant deux décennies dans la riche scène électro de Liverpool, Angleterre et il est en quelque sorte la carte frimée du groupe, créant des mélodies intelligentes et accrocheuses parsemées de sonorités insolites de l’électro underground. Natif de Montréal, Chris Hamel a étudié la guitare classique et c’est dans ses cours de musicologie à la Florida State University qu’il découvrît sa passion pour la musique africaine et caribéenne. De retour à Montréal, il fît ses classes autant dans les groupes de konpa haïtien que les ensemble de musique mandingue ou de soukous congolais jusqu’à ce que ces collègues lui donne le surnom de « zulu noir ». En plus des influences afrobeat, c’est à coup de pédale wah wah et de mélodies distortionnées que Chris rajoute une impulsion funk rock à l’ensemble.